Archives de catégorie : Publications

Appel à articles pour la revue Parlement[s]. Revue d’histoire politique

Parlement[s] est une revue à comité de lecture du Comité d’histoire parlementaire et politique publiée par les Presses universitaires de Rennes et soutenue par POLEN (EA 4710, Université d’Orléans). La rubrique Varia comprend des articles d’histoire politique, particulièrement centrés sur l’histoire moderne et contemporaine avec une volonté de s’ouvrir également aux périodes antique et médiévale. 

Nous serons ravis d’accueillir des articles rédigés par des auteurs et autrices confirmé.e.s mais également par de jeunes chercheurs et chercheuses qui souhaitent faire connaître leurs travaux et contribuent au renouvellement du champ de l’histoire politique. 

Modalités de soumission d’un article

L’auteur envoie son article (environ 40 000 signes notes et espaces compris) et un CV détaillé à la responsable de la rubrique Varia : blaszkiewicz.adeline[@]googlemail.com

Chaque article est soumis à une évaluation en double aveugle – un.e membre du comité de lecture et un.e expert.e extérieur.e) – qui communiquent au comité de rédaction un avis motivé dans un délai de quatre mois. L’auteur est alors tenu informé de la décision ; en cas d’acceptation sous réserve de corrections, il reçoit des indications précises et sa version remaniée est à nouveau soumise aux relecteurs pour validation. 

Préparation du tapuscrit

Merci de prendre connaissance de nos normes éditoriales (disponibles sur https://parlements.hypotheses.org/4932) et d’appliquer les styles adéquats et nos conventions typographiques et bibliographiques.

Appel à contributions – revue “Histoire, Médecine, Santé” : “Malades et maladies négligé⸱e⸱s. Perspectives (post‑)coloniales (18e-20e siècles)”

Délai d’envoi des propositions (titre, résumé d’une page maximum) : 16 février 2025.

De nos jours, la notion de négligence est devenue centrale pour définir les maladies laissées à la marge des priorités de santé publique. Depuis les années 2000, l’OMS a notamment forgé la catégorie des « Maladies tropicales négligées », visant une série de pathologies délaissées, en particulier chez les populations les plus précaires et marginalisées.On assiste depuis à une inversion de la charge portée par cette qualification : reconnaître à une maladie le statut de « négligée » permet de susciter un intérêt et d’entraîner une mobilisation à son endroit.

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Appel à communications – Fifteenth Century Conference Durham 2025


Lieu : Durham University

Dates : 4-6 septembre 2025

Date limite pour soumettre une proposition : 31 janvier 2025

Proposals are now invited for The Fifteenth Century Conference 2025. This annual meeting, last held at Durham in 1993, brings together established scholars and new researchers working on the history of the long fifteenth century in the British Isles, Ireland, or in the French territories of the English monarchy. We invite proposals for research papers on any subject relating to this field, and proposals on all kinds of history are welcome.

Papers should be 35 minutes in length. They should be based on original research and be suitable for working up for submission to The Fifteenth Century (The Fifteenth Century – Boydell and Brewer), an edited series closely associated with the Conference. Please note, however, that there is no obligation to publish and submissions to this series undergo a separate peer-review process.

Proposals from postgraduates at the later stages of doctoral work and from early-career researchers are particularly encouraged. All speakers will be expected to deliver their papers in person and to pay the standard registration and other fees. This cost-sharing helps to make the conference as affordable as possible for everyone. The Richard III Society is kindly offering two £275 bursaries for postgraduate speakers at the conference (15th Century Conference bursaries).

Please send proposals for papers to Christian Liddy (c.d.liddy@durham.ac.uk) by 31 January 2025. Proposals should include a title and an abstract of the paper totalling no more than 300 words. Along with the abstract, please also provide a short biography (max. of 250 words), which should include any institutional affiliations and, in the case of postgraduate students, the name of your PhD supervisor.

All proposals will be reviewed by The Fifteenth Century Conference advisory board and decisions communicated in March 2025.

Appel à communications – Séminaire “Le XVIIIe siècle et les mondes possibles”

  • Date limite pour soumettre une proposition : 30 Janvier 2025
  • Date : 30 juin – 4 juillet 2025
  • Lieu : École Normale Supérieure de Lyon

Société Internationale d’Études du XVIIIe siècle

Séminaire pour les jeunes chercheurs et chercheuses dix-huitièmistes

30 juin – 4 juillet 2025

Appel à contributions

« Le XVIIIe siècle et les mondes possibles »

La Société Internationale d’Études du Dix-huitième Siècle (SIEDS) a le plaisir de lancer un appel à propositions pour le Séminaire international 2025 pour les jeunes chercheurs et chercheuses dix-huitièmistes. Le Séminaire réunit chaque année des représentants de plusieurs pays travaillant sur le 18e siècle, sans limite d’aire géographique, de discipline ou d’école scientifique. En 2025, la rencontre aura lieu à l’École Normale Supérieure de Lyon, du 30 juin au 4 juillet. Elle sera organisée par Sophie Audidière (Université de Bourgogne-Franche Comté, Société française d’étude du XVIIIe siècle, SFEDS) et Maria Susana Seguin (Université Montpellier III, Institut Universitaire de France, Asociación argentina de estudios del siglo dieiciocho, AAESD, et Société Française du XVIIIe siècle, SFEDS).

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Appel à articles – Revue Mirator “Entre science et magie”

Date limite pour soumettre un résumé : 30 novembre 2024

This special issue stems from the Between Science and Magic Symposium, held 10-11 October 2024 at the University of Turku and jointly organized by the project TiTaRa: Between Science and Magic and the Finnish network of magic studies. 

The special issue (Mirator 2/25) will explore the themes of the symposium and the TiTaRa project: the practices and worldviews of people operating between science and magic, as well as those engaging in practices of witchcraft and esotericism. The TiTaRa project explores questions of identity through English historical linguistics and book history, and the Between Science and Magic symposium’s papers dealt with a variety of materials and languages using methods ranging from folklore studies to archaeology. 

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Appel à articles – “La guérison dans le monde prémoderne” (Routledge)

Date limite pour soumettre un résumé : 2 décembre 2024

This volume will be published with Medica: Studies in Pre-Modern Health and Healing (Routledge).


The history of healing has a rich body of scholarship, albeit one that is scattered across time, topic, and place. This volume seeks to bring together this rather disparate field by soliciting engaging works that explore the nature of healing, broadly defined, through a variety of lenses from history to ethnopharmacology to archaeology and beyond from the Ancient World to 1800. Only through interdisciplinary work does the study of pre-modern health and healing begin to take shape. As healing knows few boundaries, this volume will explore care and cure across the globe in an effort to highlight common threads and themes.

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Appel à articles – Revue Entreprises et Histoire, n. 120 : “Entreprises minières et transitions: perspectives de longue durée”

Date limite pour proposer un résumé : 15 novembre 2024

Créée en 1992, Entreprises et Histoire est une revue internationale qui publie en français ou en anglais des articles sur l’histoire des entreprises et de la gestion, ainsi qu’un débat, un document généralement inédit, des comptes rendus de thèses et d’HDR, des nouvelles des archives, des actualités, un clin d’œil, une liste de livres reçus, et les résumés français et anglais des articles. La revue paraît quatre fois par an en version papier et en version électronique.

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Appel à communications – Colloque “Les effets des entreprises capitalistes sur l’environnement en zone littorale”

Lieu : Université de La Rochelle

Date : 26-28 mars 2025

Date limite pour soumettre une proposition : 9 décembre 2024

La notion de capitalisme a été au cœur de nombreux débats d’économie et d’histoire économique au cours du XXe siècle. Elle a longtemps été associée à une notion de progrès, la recherche d’une forme d’accumulation correspondant à une amélioration considérable de la situation matérielle des humains au cours des deux derniers siècles. Mais le capitalisme correspond aussi à une imbrication entre cette recherche d’accumulation (ou dit plus simplement de profit) et une valorisation sociale de ces comportements. François et Lemercier (2021) notent ainsi : « dans ces sociétés où l’orientation vers le profit pour lui-même est centrale et largement légitimée, une tendance à l’accumulation de capital apparaît donc. Ces sociétés sont aussi très conflictuelles, précisément parce que tous peuvent y rechercher légitimement le profit ».

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Appel à articles – Les ancrages sociaux de la grève (Terrains & travaux)

Date de clôture de l’appel : 31 janvier 2025

L’actualité sociale de ces dernières années a été marquée par de nombreux conflits sociaux de grande ampleur. Ces luttes se sont déployées aussi bien à l’échelle interprofessionnelle (grèves contre la Loi Travail en 2016 et contre la réforme des retraites en 2019 et 2023) qu’à celle des entreprises (grève des cheminot·e·s en 2018, grèves de postier·e·s, grèves pour les salaires face à l’inflation). Elles ne sont pas cantonnées à la France puisqu’on les retrouve dans des pays aussi variés que les États-Unis, le Bangladesh ou l’Argentine, où le droit du travail et/ou l’organisation de la défense des salarié·e·s connaissent ou ont connu des politiques intenses de répression ou de domestication. À l’image du dernier mouvement de protestation contre la réforme des retraites, les grèves suscitent aussi de grands élans de solidarité, réactivant l’idée de « grèves par procuration ». De plus, ces mobilisations se sont parfois déployées en dehors des « bastions traditionnels » du mouvement ouvrier, à l’image des grèves des femmes de chambre, des ouvrier·e·s du secteur logistique, des livreurs·euses « ubérisé·e·s », des travailleurs·euses sans-papiers de la restauration ou de la construction. Enfin, la mobilisation de l’imaginaire de la grève autour d’objets hétérogènes et de plus en plus éloignés du champ des relations professionnelles instituées, par les mouvements féministes (grève des femmes contre les inégalités de salaires ou le travail domestique) et écologiques (grèves contre l’inaction climatique des gouvernements), témoigne a minima d’une certaine revitalisation politique et symbolique de cette modalité d’action. Ces réappropriations questionnent d’autant plus ce qui « fait grève » que, dans le même temps, certains syndicats ont au contraire tendance à recourir à des formes d’euphémisation ou de périphrase (« mettre le pays à l’arrêt », « tout bloquer »…).

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Appel à contribution – Revue Mosaïque, n° 24 : Le rôle des émotions dans la construction du savoir

Date limite d’envoi des propositions : 15 décembre 2024

D’où parlent les chercheur.euses ? Le rôle des émotions dans la construction du savoir

Lorsque le sujet-chercheur intervient dans l’espace académique pour formuler des énoncés, il n’aborde habituellement pas l’aspect intime de sa recherche. Les enjeux personnels qui mènent au choix de ses objets d’études sont passés sous silence, et les émotions qui accompagnent le processus de recherche réservées à l’espace de la vie privée, de l’informel. Ce besoin de distinguer les sphères privées et académiques est caractéristique de la croyance qu’une bonne recherche est une recherche dite objective et axiologiquement neutre. La sociologie des sciences démontre depuis des décennies que cette conception est délétère. Donna Haraway, notamment, propose dans sa théorie des savoirs situés (Haraway, 2007) d’abandonner la prétention à l’objectivité totale au profit d’un rapport réflexif au lieu d’énonciation spécifique à partir duquel le sujet-chercheur produit du savoir. L’autothéorie, tributaire des savoirs situés, s’inscrit dans cette visée : occupant une place croissante dans le monde académique, cette pratique d’écriture articule l’intime et la théorie. Notre proposition présente des affinités avec cette approche bien qu’elle s’en singularise, dans la mesure où elle se focalise spécifiquement sur les émotions dans la pratique de la recherche. Outil heuristique ou biais aveuglant, nous pensons en effet qu’elles constituent un paramètre d’une importance décisive qui doit être pris compte dans la situation d’énonciation de tout sujet-chercheur.

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