Vacation proposée pour un cours sur l’histoire des imprimés (XVe-XVIIe siècles), 2h/semaine
Pour en savoir plus, contacter: yasmine.marcil@sorbonne-nouvelle.fr
Archives mensuelles : juillet 2023
Appel à contributions: 2e game Jam des rendez-vous de l’Histoire
Date: 22-24 septembre 2023
Lieu: en ligne
Suite à une première édition réussie, le Centre européen de valorisation de l’Histoire souhaite organiser une deuxième Game Jam. Comme l’an dernier, l’événement se déroulera en deux temps :
❖ La Game jam, le week-end du 22 au 24 septembre 2023 en lien avec le prestigieux festival
❖ Une présentation des jeux lors des Rendez-vous de l’Histoire de Blois du 4 au 8 octobre 2023 à Blois.
Il s’agit d’inviter une dizaine de doctorants ou jeunes docteurs en Histoire à venir proposer leur sujet de recherche en vue de produire un jeu vidéo en 48h permettant de faire comprendre leur sujet et/ou certains résultats de leurs recherches.
Les jeux produits seront présentés dans un espace dédié lors du Festival de Blois et leur valorisation sera assurée par la tenue de conférences/tables rondes et la rédaction d’activités pédagogiques autour de la problématique de la représentation de l’Histoire dans les jeux vidéo.
Pour en savoir plus ici
Appel à communications – Colloque “Le coût du travail en perspective historique. Protection sociale, fiscalité et marché(s) du travail”
Lieu : école normale supérieure de Pise
Date : 2-3 novembre 2023
Date limite pour soumettre une proposition : 21 juillet 2023
La deuxième mondialisation a mis en avant la question des coûts du travail en tant que variable clé de la compétitivité des économies. Face à l’extension des chaînes de valeur et à l’émergence de nouveaux acteurs mondiaux en Asie, les gouvernements européens ont choisi de déréglementer les marchés du travail, de contenir la croissance des salaires et de baisser le cout du travail. Plus récemment, la résurgence de l’inflation a remis en avant les débats des années 1970 sur la courbe de Phillips et les effets du marché du travail sur l’augmentation des prix. L’émergence de la centralité du coût du travail conduit à l’interroger en tant qu’objet historique de longue période pour la compréhension des choix économiques et de politiques sociales tout au long du XXe siècle. En fait, le salaire ne se réduit pas à une variable d’ajustement de l’offre et de la demande sur le marché du travail : il est également un instrument de sélection et formation de la main-d’œuvre, aussi bien qu’un sujet de la négociation et souvent de conflit entre les salariés et les employeurs, régulée et encadrée par l’État. De plus, tout au long du XXe siècle, la fixation du montant du salaire est devenue un élément de politique sociale. Le développement de la protection sociale, la construction des droit à prestations et l’importance des revenus de transfert ont introduit des charges sociales pesant sur les employeurs et sur les salaires ainsi que des impots sur les revenus de travail.
Plus d’informations ici.
Prix Jean Maitron 2023 – Mémoire de Master
Date limite pour poser une candidature : 30 septembre 2023
Le prix Jean Maitron est décerné chaque année. Il couronne un mémoire de master en sciences humaines et sociales d’une étudiante ou d’un étudiant dont les travaux prolongent l’œuvre de Jean Maitron.
Instituteur syndicaliste devenu enseignant chercheur à l’Université Paris 1, Jean Maitron (1910-1987) est à l’origine de la fondation du Centre d’histoire sociale des mondes contemporains (CHS). Il fut l’initiateur et le fondateur du Dictionnaire biographique Mouvement ouvrier / Mouvement social qui porte son nom et qui réunit à ce jour plus de 220 000 notices biographiques.
Le prix Maitron, présidé par l’historien Antoine Prost, est attribué à des travaux en histoire sociale du XIXe au XXIe siècles, en histoire du travail, du syndicalisme, en histoire sociale du genre, des sociétés urbaines et culturelles.
Ce mémoire d’histoire, de sociologie ou de science politique doit avoir été soutenu dans un établissement universitaire au cours des deux dernières années universitaires.
Le prix est de 1 500 euros.
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Appel à communication – colloque “Working-Class Anti-Imperialism, the Global Left and Beyond”
Lieu : université d’Uppsala, Suède
Date : 11-13 juin 2024
Date limite pour soumettre une proposition : 30 août 2023
In the wake of the one-day conference “Working-Class Anti-Imperialism and the Global Left: New Directions of Study” held at the University of Bristol on 30 June 2023, our working group is eager to further explore the rich and complex questions debated on that day.
Inspired by new imperial history, global labour history, post-colonial studies, and the transnational turn more generally, we seek to present panels that revisit the imperial experience from below, examining the part played by workers in the rise, persistence and fall of empires (both formal and informal, both continental and maritime), from the 1870s to the 1970s.
International organisations, in particular those populated by socialists, communists, anarchists and syndicalists, had an important role to play in the global formation of anti-imperial movements. At the same time, in some occasions they represented an obstacle or a factor slowing down the growth of anti-imperialism. With this in mind, a first broad topic we want to discuss is the formation of anti-imperialism outside organised labour organisations. We seek papers that innovate our usual geographical patterns, tracing connections both within the same imperial entity or trans-imperially. We want to explore anti-imperial activism aimed at and promoted by all kind of workers (industrial labour, peasantry, domestic labour and so on), active in public and private spaces, and employed across the various contractualised, coerced and indentured forms adopted in empires in the 19th and 20th centuries. A focus on south-south connections and on the transfer of anti-imperial ideas and practices from the colonies to the metropole will be especially welcomed.
A second topic we want to explore is the self-representation of workers across lines of class, gender, race, language and ethnicity. How did workers taking part in anti-imperial activism describe themselves? How relevant was their own self-identification in the definition of their anti-imperial political activism? Were, for example, whiteness or blackness, masculinity or femininity, language, national and ethnic belonging deciding factors in seeking solidarity and collaboration across national and imperial lines? Critical reflections seeking to deconstruct strategies of self-identification deployed by groups, organisations or individuals proactive in anti-imperial movements will be at the centre of our analysis.
Papers should focus on either the 19th or 20th century (or both). They can focus on any geographic location, but proposals that are decentred and/or written from the perspective of the global South in colonial and postcolonial contexts are particularly welcome. The organisers will promote the publication of a selection of the papers as an edited volume or as a special issue in a leading journal of the field (more details TBA).
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